MYONYX
Société de dispositif médical sur-mesure, MyoNyx SAS conçoit, fabrique et distribue un dispositif médical innovant sur prescription médicale. Les troubles respiratoires du sommeil (TROS), et notamment les apnées du sommeil (SAOS), constituent un vrai problème de santé publique. La prévalence du SAOS est estimée entre 5 et 7% de la population générale mais à 15% de la population des personnes de 70 ans et plus.
La solution pour lutter contre les apnées du sommeil
Le traitement de référence est la Pression Positive Continue (PPC), une attèle pneumatique nocturne, quelques 400 000 patients en France dorment chaque nuit avec cet appareil contraignant (abandon dans 50% des cas). De plus, ce traitement n’élimine pas les apnées, en effet si le patient arrête le port nocturne du masque, les apnées réapparaissent aussitôt. Le Docteur Michèle Hervy, orthodontiste et spécialiste des TROS, a mis au point un dispositif médical de rééducation fonctionnelle : le SomNyx®.
Le principe est de provoquer un comportement lingual instinctif, lors de la survenue d’une apnée, en utilisant la sensibilité de la langue ainsi que sa propension à explorer l’espace buccal à des fins motrices. Les premiers tests patients montrent de vrais résultats.
Les acquis de Myonyx :
- Société constituée sous forme de société anonyme et bénéficie du statut de JEI
- Lauréat OSEO concours émergence en avril 2012 pré-création société
- Dépôt d’un brevet au niveau de l’Office Européen des Brevets è rapport de recherche positif rendu an août 2013 è extension PCT au niveau mondial en août 2013
- Etudes de cytotoxicité effectuées courant 2013 auprès du Laboratoire Biomatech
- Lauréat de l’incubateur lyonnais CREALYS. Démarrage de l’incubation en mai 2013 pour une période minimum de 18 mois.
- Accord du comité scientifique du dernier congrès mondial du sommeil de septembre 2013 en Espagne pour communiquer sur les premiers résultats (communication orale dans le programme scientifique du congrès).
- Etude clinique multicentrique internationale d’efficacité démarre en janvier 2014 (inclusion de 100 patients – étude en parallèle)