Bienvenue à Mathieu REPELLIN, Développeur chez PULSALYS

Quels sont votre formation et votre parcours ?

Après un DUT et une licence en chimie, je me suis dirigé vers un Master Chimie spécialité Formulation. Au cours ce Master, j’ai eu la chance d’effectuer ma deuxième année en alternance au CEA de Grenoble, où j’ai pu découvrir le monde et les enjeux de la nanomédecine. De par l’intérêt suscité durant cette expérience, continuer en doctorat fut pour moi la suite logique. Ainsi, j’ai eu la chance de réaliser mon doctorat à l’Université de Vérone en Italie, en co-tutelle avec le laboratoire LAGEPP (Université Claude Bernard Lyon 1 et CNRS) et en collaboration avec l’Institut NeuroMyoGène (Université Claude Bernard Lyon 1, Inserm et CNRS), à travers le programme INVITE co-financé par les actions Marie Sklodowska-Curie. Mes travaux ont principalement porté sur le développement de nanoparticules thérapeutiques comme solutions innovantes pour traiter la Dystrophie Myotonique de type 1.

Quelle est votre fonction dans ce projet ?

J’ai rejoint PULSALYS au sein du projet RESOLVE qui consiste en un enrichissement et une maturation des résultats obtenus au cours de ma thèse. Au sein de ce projet coordonné par le LAGEPP et l’Institut INMG, mes objectifs sont à terme de développer des nanoparticules associées avec des agents de la thérapie génique pour traiter des maladies neuromusculaires.

Qu’est-ce qui vous a donné envie de rejoindre la structure et quels sont vos souhaits ?

Pour moi, rejoindre PULSALYS c’est l’opportunité d’explorer davantage les recherches préliminaires effectuées durant ma thèse ainsi que de mettre toutes les chances de notre côté pour voir se concrétiser un tel projet. Avec un tel support, nous espérons à terme de s’approcher du concret et réussir à valoriser d’un point de vue socio-économique ces recherches promettantes, qui espérons un jour, pourraient fournir une solution thérapeutique à des milliers de patients pour lesquels aucun remède n’existe aujourd’hui.